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La salsa s’habille élégante pour l’automne.
Des nouveautés toutes chaudes nous parviennent de Panamá avec le retour de Camilo Azuquita, le coup double de Joel Uriola avec deux CDs depuis Caracas, la sortie du vinyle de Tromboranga de Barcelona pour les collectionneurs et la re-formation, avec l’appui contondant de la Spanish Harlem Orchestra plus nouvelle orchestre et chanteurs, du all-stars Africando.
Et pour appuyer ces derniers, un flash-back vers le Sénégal des années 70 avec la Orchestra Baobab et la Star Band de Dakar de Youssou N’Dour en reprise de la Orquesta Aragon.
Playlist Salsa de Otoño
1. El reggaeton de Azuquita – Camilo Azuquita – SALSA DESDE PANAMA (Melao InternacionaL Prod.)
2. Dios, Musica y el Amor – Camilo Azuquita – SALSA DESDE PANAMA (Melao InternacionaL Prod.)
Le chanteur panaméen nous revient gonflé à bloc avec de la bonne salsa plus une réflexion salutaire sur le reggaeton
3. Baila Mi Guaguanco – Tromboranga – SOLO PARA COLECCIONISTAS (Tromboranga Prod.)
4. El Boogaloo de Marilu – Tromboranga – SOLO PARA COLECCIONISTAS (Tromboranga Prod.)
Barcelone et ses bonnes productions de salsa, ici avec une reprise de l’inspirateur du groupe, Mon Rivera, et un boogaloo original
5. Blues Salsa – Joel Uriola – DANCING JAZZ (Joel Uriola Prod.)
6. Virgen Mala – Joel Uriola – EL MEJOR (Joel Uriola Prod.)
Pianiste, chanteur et producteur, le vénézuélien sort un efficace doublé de latin-jazz et de salsa
7. Destino – Africando – VIVA AFRICANDO (Sterns Music)
8. Ma Won Mio – Africando – VIVA AFRICANDO (Sterns Music)
Le all-stars cosmopolite de Sylla en nouvelle formation, augmenté et solidement appuyé depuis New York
9. Sey – Orchestra Baobab – A NIGHT AT CLUB BAOBAB (Oriki Music)
10. Danguele Fasso – Super Star de Dakar – STAR 70s (Bellot Records)
Un rappel de l’indéniable aficion des sénégalais pour les rythmes afro-cubains avec deux perles vintage
11. Africa Es (Tribute to Africando) – Spanish Harlem Orchestra – VIVA AFRICANDO (Sterns Music)
L’orchestre new-yorkais, mené par Oscar Hernández qui est présent sur tout l’album, en hommage à Africando