Passionnément Bis – Arno Calleja

Mp3 71-arno Calleja-c Est Dans Ta Tei Te Tout Cipa.
Mp3 72-arno Calleja-jacques A Dit Ok.
Mp3 73-arno Calleja-leo Lea Arno Nora-ok.
Mp3 74-arno Calleja-vider-ok.
Mp3 75-arno Calleja-je Sais Quoi Faire-ok.
Du lundi au vendredi à 14h

Passionnément, c’est une fenêtre quotidienne de poésie contemporaine à l’antenne, fruit d’une collaboration au long cours avec le Centre International de Poésie Marseille, une programmation concoctée tous les mois depuis l’an 2000, et depuis septembre dernier par Emmanuel Picaud, webmaster du CIPM, à partir des archives sonores du CIPM .

Passionnément bis, c’est la même chose, sauf que c’est depuis l’hiver 2009 – 2010, Eric Giraud, responsable de la médiathèque du CIPM, qui lance sur une période de deux mois une invitation spécifique pour ce créneau radiophonique de la Grenouille à des poètes choisis.
Cette nouvelle édition de Passionnément Bis va se dérouler à l’antenne et sur le site des 3/8 en juillet et août 2010.

cipM



Du 9 au 13 août 2010 : Arno Calleja



























A suivre : du 16 au 20 août 2010
Anne Kawala : matches
Anne Kawala : matches
Anne Kawala : matches
Anne Kawala : matches
Anne Kawala : matches

matches – création radiophonique
musique (extraits) : Heroes & Vilains, The Beach Boys ; Bye bye Blues, Dinah Washington ; Theme for Carrie, Pino Donaggio
textes & sons : annonce du combat de Mike Tyson & Etienne Clifford ; Les deux loups (conte cherokee – lu par Gilles-Claude Thériault – http://www.litteratureaudio.com/) ; extraits de la déclaration des droits de l’homme (anglais & espagnol – http://www.litteratureaudio.com/) ; L’autre labyrinthe (La trame céleste, Bioy Casares)
autre voix, textes & montage : Anne Kawala (http://anne.kawala.free.fr/)


Du 23 au 27 août 2010
Assez vu Jan de Weck

Assez vu Jan de Weck
Assez vu Jan de Weck

Assez vu Jan de Weck
Assez vu Jan de Weck

Extraits de textes de Jan de Weck lus par Dominique Meens, bande son Vidéo, musique et réalisation de Francis Gorgé
http://www.assezvu.com/videos/video01.php


Du 30 août au 3 septembre 2010
Franck Smith : Dans L.A
Franck Smith : Quelques Abenakis
Franck Smith : Longs courriers
Franck Smith : Un barrage contre le Golfe du Mexique
Franck Smith : Vent d’Avel

1: Franck Smith, Dans L.A
À la fois récit, ou roman, ou fragments de poésie où une vague intrigue s’invente mais reste superficielle et de second ordre. Baignées dans un halo de mouvements fugitifs et atmosphériques, les traces – les fragments – se décollent comme des vignettes et viennent se déposer, bord à bord, sur une série de trames superposées, réseaux linéaires ou étoilés qui s’étendent virtuellement bien au-delà des lieux mêmes, des lieux-dits en question.

2: Franck Smith, Quelques Abenakis
Au Québec, on y va un jour. On circule, on traverse. Des villes, des rivières. Des fleuves et des forêts.
On roule, on franchit. On franchit et on s’arrête un jour. C’est Odanak, un village indien, un village banal au bord d’une rivière banale.
On s’arrête et on passer là une fin de semaine pour la 50ème fête du village, qui réunit des centaines d’Amérindiens venus des quatre coins de l’Amérique du Nord.
Il y a des gens, des hommes, des enfants et des femmes. On les rencontre et on leur parle.
On les rencontre et on passe du temps avec eux.

3: Franck Smith, Longs courriers
PARIS/NEW YORK/RIO DE JANEIRO/MARRAKECH

4: Franck Smith, Un barrage contre le Golfe du Mexique: une tribu indienne en sursis
En Louisiane, une digue devrait bientôt protéger la côte des ouragans. Mais son tracé exclut une langue de terre, Isle de Jean Charles, qui héberge trois tribus indiennes depuis plus de 300 ans. La population indienne d’origine, à Isle de Jean Charles, dans le comté de Terrebonne, compte 60 foyers. Leur terre, c’est une miette perdue au bout de nulle part. Une île cernée par les bayous qui sombre lentement sous les assauts de l’eau salée. Pour rejoindre Isle de Jean Charles, sur la côte de la Louisiane, il n’y a qu’une seule route qui, par temps de pluie, perd régulièrement la bataille contre les éléments. Ensuite s’alignent de pauvres maisons de bois. Quatre kilomètres plus loin, le bitume disparaît, mangé par les marécages. Un carré de terrain vague résiste tant bien que mal. Chaque jour un peu plus, Isle de Jean Charles s’enfonce dans la mer. L’île n’en est pas vraiment une au départ mais elle est la première victime d’une érosion côtière qui saborde la Louisiane depuis des siècles, décuplée par les effets des tempêtes qui viennent se frotter au sud-est des Etats-Unis. Même les alligators ont fui l’eau salée qui a envahi les bayous. Et avec l’île, ce sont 277 Indiens qui coulent doucement.

5: Franck Smith, Vent d’Avel
Fiction.





Du 6 au 10 septembre 2010 :
François Bladier : D210/D200/

François Bladier : D180/D170/
François Bladier : D110/D140/
François Bladier : D120/D90/
François Bladier : D70/D60/

François Bladier, DIZAINES