« L’homme qui souffre est une bête, la bête qui souffre est un homme’ Francis Bacon
Chorégraphie et direction artistique : Tino Fernández / Dramaturgie : Juliana Reyes / Danse : Ángel Ávila.
De quoi s’agit-il ? D’un procédé simple qui consiste à isoler le corps, l’insérer dans une cache de verre. Rendre sensible un cheminent du corps dans le lieu ou sur lui-même. Le corps ainsi isolé devient une icône, une figure non-narrative. Que voit t-on ?Des forces qui agissent sur le corps, tout est en rapport avec des forces, tout est forces et c’est en cela que consiste la déformation du corps.
Entretien avec Tino Fernández et Juliana Reyes, à propos de la pièce chorégraphique Diario de una crucifixión jouée lors du Festival de Marseille.
Diario de una crucifixión, festival-de-marseille