BCUC : transe psyché en vérité.

 

 

Un combo explosif tout droit venu du township de Soweto en Afrique du Sud, qui répond aux initiales de BCUC pour Bantu Continua Uhuru Consciousness.

Leur musique, ils l’appellent l’afrikangukungu, la maniant comme une arme de libération politique et spirituelle, tout autant qu’une transe. Entre rythmes traditionnels, incantations zulu, voix soul et une énergie sans limite. Une musique puissante et sans étiquette, une musique pour guérir les âmes les coeurs et les mémoires de ceux qu’elle traverse.

« Music for the people, with the people, with the people » est leur mantra … ce qui n’est pas sans nous rappeler Fela Kuti. Depuis les Transmusicales de Rennes 2016 qui les ont révélé au public européen, ils enflamment toutes les scènes sur lesquelles ils performent jusqu’à Marseille, où la Grenouille les a rencontré à l’occasion du Global Local au Dock des Suds.

 

Un entretien où l’on parle de leur parcours, de leur musique, de leur regard sur le monde mais aussi d’engagement politique, de Winnie Mandela et de l’avenir de la nation arc-en-ciel où l’héritage de l’apartheid continue d’impacter la société.