Des graines de folie qui poussent dans les fissures de nos rêves, arrosées de beaucoup d’amour, et voilà des baobabs qui dansent dans la lumière d’un éclat de rires.
Nous voilà dans la peau de Joa, quelque part en dessous de la surface, au plus près des racines, dans cet ailleurs qu’elle porte au dedans, partout, tout le temps.
Nous voilà au dedans, le temps d’un portrait en creux et en vagues d’une princesse grenouille, le temps de commencer deux soirées dans son univers, à la Meson.
par Amélie Agut et Floriane Pochon