Émission d’octobre: « Éloge de la lenteur » (PODCAST VERSION LONGUE: 1heure40)
Pour reprendre doucement, nous proposons ici de réfléchir à différentes manières d’aborder le concept de « lenteur » en musique. En partant de musiques traditionnelles indiennes et mongoles, nous voyagerons ensuite vers les musiques classiques du XIXème et XXème siècles jusqu’aux musiques contemporaines de ces trente dernières années, pour ensuite évoquer la lenteur dans des courants esthétiques plus populaires comme le post-rock jusqu’au doom et au stoner. L’idée ici est de voir comment la lenteur a réussi ici à se maintenir, alors que d’autres approches s’installaient dans une introspection immobile avec l’ambient ou la musique spectrale… (à suivre)
Playlist:
Trad. – Alap Indien (Bhimpalasi)
Sunn o))) – Candlegoat (de l’album Black One)
Trad. – Epi mongole (chant diaphonique, basse profonde)
Cornelius Cardew & The Scratch Orchestra – Paragraph 1 (The Great Learning)
Charles Valentin Alkan – 50 ans. Prométhée enchainé (sonate pour piano les 4 Âges par Pascal Amoyel)
Earth – Lens of Unrectified Night (Hex Or Printing in the Infernal Method)
Gustav Mahler – Adagietto (4ème mouvement de 5ème Symphonie par Rafael Kubelik & Bavarian Symphony Orchestra)
Black Sabbath – Lord Of This World (de l’album Masters of Reality)
Sleep – Nains Baptism (de l’album Holy Mountain)
Giacinto Scesi – Pranam II (par l’ensemble 2E-2M et Luca Pfaff)
Liars – Drop Dead (de l’album Sister World)
Codeine – Ides (de l’album The White Birch)