Meg Stuart s’inspire de personnes qui ont créé leurs propres règles fantastiques pour se retirer du monde. Se retrouvant en scène, danseurs et musiciens multiplient les contacts en remettant le désir au centre du partage.
Avec 1993 on aura éprouvé les limites d’un monde d’abord donné sans limites. Puis, on aura éprouvé les limites d’un monde achevé, totalement relié ayant aboli et la géographie et l’Histoire.
Regardez la mer / abandonnez vous à son horizon / écouter son ressac / il y a une vie en soi, qui n’est ni histoire, ni travail, ni succès, ni défaite / une vie intérieur, un mouvement perpétuel, bien plus vaste que nos accomplissements. C’est une danse de Nacera Belaza.
Entretien avec Brett Bailey, autour de sa dernière création présentée au Festival de Marseille > Sanctuary
Dans le purgatoire de l'Europe des corps errent. Pour qui veut bien le voir, l'Europe est un vaste camp où les migrants sont tenus, retenus.
L'effacement, la disparition, le recouvrement. La naissance d'un mythe. L'imaginaire recouvre le réel. La mémoire des sans. La lutte contre la disparition. Espérer voir un homme. Décider de ce que l'on veut voir et projeter. Entretien avec Rabih Mroué.
Samedi Détente, retour de mémoire. 6 avril 1994, Dorothée Munyaneza à 12 ans, et le Rwanda sombre dans le dernier Génocide du 20°siècle. Samedi détente, Se souvenir de la chute des corps. Mémoire d’un peuple.
Rencontre avec Dorothée Munyaneza
Souvenir d'une conversation avec Bouchra Ouizguen. Souvenir d'un désir d’aller ailleurs, de trouver autre chose, d’autres corps, d’autres manière d’être sur scène, d’autres manière de chanter. Désir de trouver une danse.
Entretien avec Jérôme Bel, chorégraphe, à propos de Gala, une création originale qui interroge les canons de la représentation du corps sur scène et la manière dont nous les avons incorporé.