Des voix du monde entier, de la Syrie au pôle nord en passant par le Kurdistan, célébrant l’amour ou le plaisir d’être ensemble ou bien, comme ce chant de pleurs d’une femme croate exilée en Hongrie qui débute ce mix, la douleur d’être loin du pays natal. Le tout contrastant avec l’avancée inéluctable de la civilisation moderne représentée par le dub electro de Mikkel Metal et d’Andy Vaz ou la house minimale de Holger Nielsen.