La sélection foisonnante de la 30ème édition du Festival international du cinéma de Marseille nous a permis de découvrir de nouvelles réalisatrices et réalisateurs, et avec eux de nouvelles façons d’éclairer. Nous avons pu y voir des moments de la vie quotidienne (comme Double Tide de Sharon Lockhart), des instants passés, imprimés pour toujours sur la pellicule (dans Pourquoi la mer rit-elle de Aude Fourel) ou d’autres où le spectateur est plongé dans l’intimité d’une famille (avec Noel et sa mère de Arthur Dreyfus).