Pendant une petite heure, depuis l’Agora du Mucem, nous avons questionner tour à tour deux réalisateurs, tous deux présentant des films en compétition internationale, sur leur art de filmer, de se filmer, de nous raconter, de se raconter. Retrouver l’entretien avec Ignacio Aguero ici.

Le libanais Ghassan Salhab était avec nous pour « L’Encre de Chine », film hanté par la mort et les disparus, traçant les Histoires nationales, libanaises, françaises, voire même allemandes, comme indissociables du désir d’autobiographie de sa génération…

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